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LES VOIVRES 88240

Quand le Val de Vôge a décidé qu'il ne voulait pas mourir

Bicentenaire de Les Voivres

Photo Noël Jean

Photo Noël Jean

La semaine dernière nous étions plutôt dans l'évocation de la Fête patronale et auparavant nous parlions de la pédagogie Freinet et des Cahiers de la Chanson des Cerises. Cette semaine c'est le Bicentenaire de Les Voivres que Noël Jean nous fait revivre.

Gageons que la semaine prochaine nous serons "Jean qui rit et Jean qui pleure"

Heureux d'avoir pu assister à la fête que vont donner Aurèlie et Pierre-Olivier, malheureux car ce sera leur soirée d'adieu.

On ne peut et ne doit emprisonner ceux que l'on aime mais ont peu être triste quand ils vous quittent.

Eux que je ne connaissais pas bien, il y a un peu plus de 2 ans, je les ai croisés depuis à maintes reprises, autant pour le plaisir d'être en leur compagnie que pour relater leur activité. Car elle fut débordante et quand les jours derniers j'ai du faire le recensement de ces moments où je les aie rencontrés, où je les aie photographiés et où je suis, à travers mon objectif, tombé dans leur âmes, j'ai du parcourir une grande partie de mes archives photos.

Ils sont présents sur le site de la Guinguette, dans la construction de yourtes ou dans les créations d'Aurélie, dans la Fête des Voisins et les vibrantes danses d'Oléocada, dans les ateliers meubles en carton et le jour inoubliable de leur mariage.

Avec l'association C'est Quoi Tsa, le Cochon du Lard Rock, le Carnaval de Bains les Bains et la Saint Rémi.

Ils sont là au Chantier Participatif, pour planter un tilleul avec la Transition d'ici et à la Fête de l'Eté de celle ci.

Aux voeux du maire et au bal folk avec Gildas.

Remercions encore de leur implication. Si quand ils sont arrivés à Les Voivres, la municipalité a cru en leur projet, ils ont largement rendus ce qu'ils avaient reçu.

Restera leur image et celle de leur fils qui, ce matin, arrivait en dansant à la mairie avec son père venant chercher les couverts pour leur fête.

Et certainement pas mal de larmes au moment de leur départ.

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N
Avant de me faire "taper sur les doigts", je rajoute un E à suspens, faute que le vérificateur d'orthographe de l’ordinateur a laissé passer. On est toujours trahi par la technique... entre autres.
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N
Suspens assuré jusqu'à la présentation de "Happy avec Les Voivres" dont quelques "exilés se demandent bien comment ils pourront en être informés. Certains riront, d'autres pleureront. Au final, tous riront et pleureront à la fois. Jean, lui, dit que c'est la roue qui tourne.<br /> Nos successeurs auront du grain à moudre pour étoffer l'Histoire du village et... un éventuel Tricentenaire
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N
J'ai bien écrit nos «successeurs »
L
Je vous laisse le soin de prendre photos et vidéo du tricentenaire. J'ai envie de me reposer bien avant, prochainement même.