27 Juillet 2016
PARENO STEPHANE24/07/2016 11:04
Donc je résume, les emplois précaires et à temps partiels payé au smic par Pôle emploi sont une économie pour la Commune. Il est vrai qu'on à besoin de faire une longue formation pour enlever des déblais ou faire du nettoyage!
Lydia, chantier d'insertion à Les Voivres en 2015, formation de permis transports en commun, sortie positive du chantier avec un emploi de chauffeur de bus.
Même si cette personne pense le contraire, dire tout et son contraire sans connaître la question et s'en chercher à la connaître, avancer des interprétation erronées du budget communal tout en refusant de jeter un oeil au compte-rendus disponibles (il est plus facile de parler de censure) accuser de mauvaise gestion, pêle-mêle et sans faire de distinctions la municipalité, le centre d'accueil et dans la foulée les agents de Pôle Emploi et du Conseil Régional, trouve parfois ses limites.
C'est le cas avec les derniers commentaires de Mr Pareno qui sont non seulement faux mais à la limite de la diffamation.
Sa mauvaise foie est d'autant plus évidente que, lecteur régulier de ces pages, il sait très bien que ce qu'il affirme est erroné. Toutes ses assertions ne s'appuient que sur un trop plein de bile et de hargne, sur un parti pris sans faille et constant d'être toujours en désaccord avec les activités de Les Voivres, sur un déni total et partial.
J'imagine que Mr Geoffrey Joly, directeur de la Maisondici, un autre lecteur régulier de ces pages, a du être indigné par cette affirmation mettant en cause tout le travail qu'il accomplit avec son équipe :
"--Un centre d'accueil, d'une capacité de 60 lits, qui fonctionne à plein, qu'en été pour les centres aérés et colonies (La Maison d'ici), à entretenir et chauffer."
Encore une fois, étant donné le nombre de publications faites sur les activités de la Maisondici tout au long de l'année, nous pouvons affirmer que Mr Pareno Stéphane déforme la réalité en toute connaissance de cause.
De la même façon, mélanger les travaux réalisés par les salariés du chantier d'insertion et les formations qu'ils suivent serait tout simplement ridicule si la malveillance, l'intention de blesser et de nuire n'était pas évidente.
Affirmer cela, c'est remettre en cause le travail d'encadrement effectué par les chefs d'équipe, la municipalité, Pôle Empoi, le Conseil Régional. C'est affirmer que l'argent public servant à payer ces formations souvent très couteuses est dilapidé sans obligation de résultats.
C'est insulter les salariés du chantier qui viennent là où ce sera souvent pour eux la dernière occasion de pouvoir remettre le pied à l'étrier et de trouver cette formation.
Certainement cette personne va bientôt prétendre jouer les sauveurs de cette malheureuse commune au bord de la faillite, gérée par un bande d'irresponsables.
Nous disons non. Non à sa politique de terre brûlée, non à ses criailleries. Non à ses rodomontades. Non à cette science infuse, commune à tous ceux qui n'ayant jamais rien fait pour leur commune, ne se sont jamais trompés.
Hurler avec les loups n'est pas faire. Ce n'est pas une preuve d'efficacité et de compètence comme Mr Pareno semble le croire et comme il le proclame.
Nous disons non. Non à ceux qui pensent que la meilleure solution pour être bien en cours, consiste à ne rien entreprendre, à jouer les duègnes outragées, les yaka et à critiquer, critiquer, critiquer ceux qui mettent les mains dans le cambouis.
Il serait souhaitable que Mr Pareno cesse ses allégations infodées.
En attendant comme nous ne sommes pas rancuniers, nous, nous avons le plaisir de l'informer que, prochainement, il lui sera prouvé que tout l'investissement fait dans la Couveuse d'Entreprise, grâce au travail de la municipalité et de la Com Com du Val de Vôge ne sera pas inutile car il va bénéficier d'une connexion Internet au top du top.
Nous aimons les fous qui pensent que tout est possible. Nous aimons les rêveurs éveillés. Nous aimons les Faizeux.
Nous aimons ceux qui poussent la porte en disant : "-J'ai un projet". Ce sont des hommes debout qui nous apportent la vie.
Bon, je vous laisse, faut que j'aille toucher mes allocations chômage et m'acheter des boules Quies et un casque lourd.
Le bloggeur fou.