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LES VOIVRES 88240

Quand le Val de Vôge a décidé qu'il ne voulait pas mourir

Journée Nationale du Souvenir de la Déportation

Journée Nationale du Souvenir de la Déportation

Noël Jean a partagé ces documents

Photo Noël Jean

Photo Noël Jean

Les camps de Haslach

« Lorsque ces travailleurs civils hiollandais ont bâti deux baraques derrière la digue de la rivière Kinzig en automne 1944 près de l’auberge "Arche", ils ne pouvaient pas savoir quelle situation inhospitalière y régnerait d'ici tôt », écrit en juillet 1998 Sören Fuss dans son ouvrage "Gedenkstätte Vulkan Haslach im Kinzigtal".

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Évidemment, mon commentaire précédent n'a plus grand sens ni résonance puisque, privilège de webmaster oblige, les remarques distillées au fur et à mesure dans l'article ont été supprimées. Ce n'est que justice car elles étaient vraiment trop ambiguës.<br /> Comme l'affiche le préconise, il ne fallait pas « diviser » mon article de sorte qu'il puisse paraître quelque peu décousu et porter à une éventuelle confusion que, pourtant, j'étais bien loin - j'en suis encore tout secoué - de pouvoir imaginer.
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N
Je ne comprends rien à cette, me semble-t-il, addition de contre-sens dans cet article aux interventions extrêmement litigieuses, pour ne pas dire accusatrices. <br /> Ce que je fais et ce que fait surtout Sören Fuss depuis des années et des années, pour dénoncer les crimes nazis, participe parfaitement du Devoir de Mémoire.<br /> Précisément, ce francophone et francophile n'est pas resté neutre, s'est indigné, a lutté contre les bourreaux, ne s'est pas tu et n'a pas fermé les yeux, ce qui lui a coûté aussi pas mal d'animosité de la part de certains qui ne voulaient pas remuer le passé.<br /> Il n'a, assurément, pas choisi de ne pas savoir et d'oublier puisqu'il a, justement, conduit des travaux et des recherches, été à l'initiative de l'érection d'un mémorial, organisé des commémorations, écrit un petit ouvrage pour que personne n'oublie.<br /> Puisque, dans ce blog, il est souvent question « d'hommes debout » (à ne pas confondre avec "Nuit debout"), j'affirme haut et fort, contrairement au ton général des remarques "infusées" dans cet article, que Monsieur Sören Fuss, de par sa participation et son action prépondérante au Devoir de Mémoire, nous fait l'immense honneur de compter parmi eux. Ce n'est pas toujours le cas... mème pour certains Français.
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