La semaine prochaine, Mr le Président de la République sera dans les Vosges et spécialement dans notre Village des Voivres. Ca sera l'occasion de lui montrer notre savoir-faire et celui de la filière bois. D' autres entreprises seront à l'honneur dont celle de nos collègues de Il était un arbre.
Il serait importun ce jour la de parler a,Mr Le Président MACRON , que de pépinière d'entreprise<br />
d'un prix exorbitant sur la conception qui plombe les impôts des habitants de la communauté de commune qui ne sera jamais rentabilisé sur l'exploitation ,lui parler du départ d'une entreprise créer par Michel VINCENT repris par DORAS qui met un terme à son activité car plus rentable car repris par un groupe qui préfère le profit non défendu par Mr Le Maire des Voivres . Ou est l'employabilité des jeunes sur notre secteur ?Poser des vraies questions.
Pourvu que Macron, gros plan, yeux bleus, sourire carnassier, BCBG mais inflexible, ne raconte pas, lui, trop de « carabistouilles » ce jour-là. Du coup, je me demande si la petite ruralité de Les Voivres a connu (ou non) une baisse de dotation. On ne sait plus à qui se fier mais il parait qu’il ne faut pas confondre enveloppe et répartition. Subtilité de la langue française !<br />
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Devant un Pernaut béat, subjugué, pas incisif, se contentant de son rôle de faire-valoir mais se plantant quand même et carrément déstabilisé - malgré le peu qu’il avait à dire - entre Bayrou et Borloo, il reste sans véritables solutions et silencieux sur des mesures et des annonces concrètes.<br />
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Certes, la forme a changé et il lui serait sans doute agréable et de bon ton que je sois "patriotiquement" reconnaissant envers celui qui, après les avoir spoliés, a moult fois remercié (élections en perspective) les retraités, tout en leur suggérant de s’impliquer davantage dans le bénévolat.<br />
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A l’image de l’inutile « je suis votre chef » lancé aux militaires qui ne le contestaient évidemment pas, il s’est évertué à répéter « je suis le président de tous les Français »… comme s’il avait besoin de s’en persuader.<br />
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Pour le reste, je pourrais reprendre tout le plan de son monologue "pédagogique" mais, comme il n’y a quasiment rien de nouveau si ce n’est que, frisant l’entêtement, il ira « jusqu’au bout », je préfère me réjouir - malgré tout - de son passage dans mon village natal qui n’a pas dû voir un Président de la République depuis bien longtemps.<br />
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Ayant fait partie des 6,4 millions de téléspectateurs (j’ose à peine le dire) qui l’ont "examiné" hier, il est fort probable que je sois à nouveau (si toutefois suivi TV il y a) devant cette lucarne encore ouverte sur le monde malgré internet, réseaux sociaux et autres téléphones portables, pour accompagner ce président si ordinairement clivant, sur une partie du chemin si joyeux de la Colause.