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LES VOIVRES 88240

Quand le Val de Vôge a décidé qu'il ne voulait pas mourir

Vosges : l’écrivain Alexandre Jardin part en campagne pour la présidentielle à Socourt

Alexandre Jardin et Michel Fournier à l'inauguration de la Com Com du Val de Vôge

Alexandre Jardin et Michel Fournier à l'inauguration de la Com Com du Val de Vôge

Je suis fier de me rendre demain, le 24 février, dans les Vosges à une réunion pour les parrainages organisée par ce maire d'exception : Michel Fournier.
Découvrez-le ou redécouvrez-le !

Les solutions concrètes sont dans nos territoires. Les vrais leaders crédibles sont celles et ceux qui obtiennent déjà des résultats réels.

C'est un honneur de servir ces gens-là.

 

Alexandre Jardin

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J
Je lui souhaite bien du courage, du plaisir et de trouver les parrainages suffisants.<br /> Quand on suit ce qui se passe actuellement (actions qualifiées de "suspecte" de la Justice, ralliements inattendus mais pas si surprenants finalement, sélection arbitraire pour débat TV, déclarations incendiaires, etc.), ce n'est pas très encourageant.<br /> J'ai cependant bien aimé un passage de la déclaration de Bayrou : « A droite, le dévoilement des affaires révèle non seulement l’existence de privilèges et de dérives mais, ce qui est plus choquant encore, l’acceptation tacite et presque unanime de ces abus. Toujours davantage de privilèges pour ceux qui sont en haut, toujours davantage d’efforts exigés de ceux qui sont en bas…»
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J
> Je suis d'accord..<br /> > Puisque vous venez de citer De Gaulle et pour une meilleure compréhension d'un de mes commentaires (23-02 14 h 19), je précise que le colonel Argoud (son coriace adversaire) est né à Darney, qu'il a retrouvé - après un retour à pied de sa prison parisienne - sa maison natale le 30 juin 1968 (il y est photographié devant avec ses 2 filles en luillet) et qu'il y a terminé son livre le 15 mai 1973.
L
Je pense que c'est déjà aux victimes de décider s'il faut pardonner et oublier les noms des bourreaux mais pas leurs actes et surtout être conscient que cela peut recommencer chez nous et que ces horreurs se produisent actuellement dans de nombreux pays.
J
Je ne l'ai pas lu mais j'ai vu une émission littéraire qui en parlait et j'avais compris la souffrance de l'auteur. D'aucuns auraient cependant aimé qu'Alexandre Jardin ait, avant de composer ce livre de refondation, médité cette phrase d'Henry Rousso et Eric Conan dans "Vichy, un passé qui ne passe pas" (Fayard, 1994) : « Le devoir de mémoire donne-t-il le droit d'ouvrir un procès perpétuel à la génération de la guerre ? D'autant que, pour la nôtre, l'obsession du passé, de ce passé-là, n'est qu'un substitut aux urgences du présent. Ou, pis encore, un refus de l'avenir. »
L
Par hasard je suis en train de lire son livre" Des Gens très bien" que Francis Etienne m'a offert à Noël. Il l'avait acheté lors de l'inauguration de la Com Com où l'écrivain présentait ses ouvrages.<br /> Il parle des années de la IV éme république, celle des De Gaulle, Mitterrand et de toutes les relations et ententes qu'il y avait entre les dirigeants et les anciens collabo et bourreaux.
E
Oui, vous pouvez être fier, Monsieur Alexandre Jardin. Fier de ce que monsieur Michel Fournier fait pour sa commune. <br /> Une commune qui vit, qui agit avec des "hommes debout". Une commune qui grâce à eux tous, grâce à ce maire d'exception, ne mourra pas. <br /> Il a donné aux habitants de Les Voivres l'envie et le pouvoir d'agir en croyant en eux, en créant une dynamique au sein du village. Les résultats sont là.<br /> Qui dira le contraire ?
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