Quand le Val de Vôge a décidé qu'il ne voulait pas mourir
14 Juin 2016
Pas une seconde de répit, de réparties en rires, vous vous surprenez à déjà applaudir les artistes qui saluent.
Du grand Théâtre de la Miroiterie
Une matrone entre sur scène. Elle déteste les hommes. Elle les consomme. Une femme battue lie connaissance avec elle. Battue, humiliée, pas trompée, cocufié par son ni cher, ni tendre qui se fait un malin plaisir de lui rapporter ses coucheries. Juste avant de lui mettre quelque beignes et de l'inviter à jouer à la bête à deux dos.
Un couteau électrique, pas n'importe lequel, une grande marque, et la tête du gros con se retrouve dans le cabas de cette ménagère de plus de 50 ans à sniffer une botte de poireaux par la racine.
Tête bien froide mais un tantinet baladeuse puisque de bon plans en ratages, cette caboche va être transportée à son insu par une tête de linotte, une vraie jeune fille malgré son demi siècle depuis longtemps aux oubliettes, rendant visite à ses paroissiens en priant pour qu'un jour ils lui sautent dans la culotte. Nos deux compères espèrent que c'est dans le cabas garni, mi-tête, mi-poireux qu'ils mettront la main.
Tout va s'arranger puisque notre rosière attardée aura le coup de foudre pour celle-ci et pour s'assurer de longues soirées en tête à tête va tout simplement,